Du jeudi 09 mars 2023 à 18:00 au jeudi 16 mars 2023 à 20:00 à BESANCON
Cycle "Au féminin"
Le cinéma Les 2 Scènes vous donne rendez-vous pour un cycle "Au féminin" !
Dans le cadre du 8 mars, journée internationale des Droits des Femmes, porté par le CIDFF du Doubs en lien avec un collectif d’associations et les institutions partenaires et en partenariat avec le festival Diversité, Centre Image, pôle régional d’éducation à l’image et l’Aparr, association des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel en Bourgogne-Franche-Comté, ces trois films proposent une plongée dans les luttes féministes des années 1970 et actuelles, de l’intime au politique.
Delphine et Carole, insoumuses
Callisto McNulty – 1h10, France, 2019
| du 9 au 16 mars
Fin des années 60, Sony lance la Portapak, caméra portative. Carole Roussopoulos, journaliste et réalisatrice, en fait l’acquisition et forme des femmes à cet outil prometteur. Elle rencontre Delphine Seyrig, actrice déjà reconnue à l’époque. Caméra au poing, elles découvrent l’usage subversif de l’appareil, pour faire entendre la voix de celles et ceux à qui on ne donne pas la parole, et se battent pour leur indépendance. Un héritage précieux mis en image dans ce documentaire de Callisto McNulty, réalisatrice et petite-fille de Carole Roussopoulos.
ET UN PROGRAMME D'UN COURT + UN DOCUMENTAIRE ...
Histoires d’entrejambes
Myleine Guiard-Schmid – 35 min, France, 2021
| le 16 mars uniquement
« Tu enfanteras dans la douleur. » Pourquoi ? Y a-t-il d’autres récits ? Parce que naissance ne rime pas toujours avec douleur, Histoires d’entrejambes transmet un nouvel imaginaire, celui de femmes qui cheminent vers la réappropriation de leurs corps et de leurs accouchements.
Le jour où j’ai découvert que Jane Fonda était brune
Anna Salzberg – 1h24, France, 2022
| le 16 mars uniquement
Anna Salzberg, caméra à la main, tente d’interroger sa mère sur son passé féministe et sur les raisons qui l’ont poussée à faire un enfant toute seule. N’obtenant aucune réponse de sa part, elle va les chercher ailleurs et découvre ainsi le mouvement féministe des années 1970 et son cinéma militant. La cinéaste change et le mode de fabrication de son film rejoint alors celui des militantes qu’elle rencontre et témoigne de la transmission d’une mémoire des luttes féministes par la fabrication collective de films.
Par le webmaster
