Journée de rencontre autour de l'éducation aux images !
- 13h45 - 16h // Speed-meeting entre pros de l’éducation aux images
Professionnels débutants ou confirmés, venez faire connaitre votre travail !
Rendez-vous de 15 min en face à face entre artistes intervenants et des structures porteuses d’actions d’éducation à l’image en Bourgogne-Franche-Comté.
Venez rencontrer :
> Mathilde LOMBERGER, chargée des publics, Cinémas d’aujourd’hui-Festival Entrevues (90)
> Stéphanie BUNOD, responsable cinéma jeunesse, Les 2 scènes (25)
> Sandy DUCATEZ, déléguée régionale cinéma, Ecran Mobile (25 & 39)
> Geoffrey FAIVRE, responsable jeunesse, MJC d’Arbois (39)
> Manon MAES, coordinatrice, Ciné Ressources 71 (71)
> Olivier BRENET, animateur culturel, Habitat Jeunes les Oiseaux-Besançon (25)
> Claire GUERET, coordinatrice des dispositifs scolaires, Centre Image (25)
- 16h30 - 17h15 // Partage d’expériences autour d’un film d’atelier
Autobiographies contrastées est un film d’animation documentaire réalisé lors d’un atelier donné par la réalisatrice Myleine Guiard-Schmid en 2018 au collège de Lormes (58), en partenariat avec l’association «ARCADE Design à la campagne».
- 17h30 - 18h45 // Atelier «42 femmes & bien plus !» par Passeurs d'images Bourgogne-Franche-Comté
- 20h // Séance «Au féminin» en partenariat avec Cinéma Les 2 Scènes
Découvrez deux films qui proposent une plongée dans les luttes féministes des années 1970 et actuelles, de l’intime au politique.
> La projection est suivie d’une rencontre avec les réalisatrices !
> Tarifs : 2.50€ à 5€
Histoires d’entrejambes de Myleine Guiard-Schmid
35 min, France, 2021
« Tu enfanteras dans la douleur. » Pourquoi ? Y a-t-il d’autres récits ? Parce que naissance ne rime pas toujours avec douleur, Histoires d’entrejambes transmet un nouvel imaginaire, celui de femmes qui cheminent vers la réappropriation de leurs corps et de leurs accouchements.
Le jour où j’ai découvert que Jane Fonda était brune d’Anna Salzberg
1h24, France, 2022
Anna Salzberg, caméra à la main, tente d’interroger sa mère sur son passé féministe et sur les raisons qui l’ont poussée à faire un enfant toute seule. N’obtenant aucune réponse de sa part, elle va les chercher ailleurs et découvre ainsi le mouvement féministe des années 1970 et son cinéma militant. La cinéaste change et le mode de fabrication de son film rejoint alors celui des militantes qu’elle rencontre et témoigne de la transmission d’une mémoire des luttes féministes par la fabrication collective de films.
Par le webmaster